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      Fait-il si bon respirer chez vous ?  

       

      Si vous pensez échapper aux gaz d'échappement en rentrant chez vous, détrompez-vous : l'air intérieur est 5 à 10 fois plus pollué que l'air extérieur(1). Mais pollué par quoi, exactement ? Par des intrus invisibles, la plupart du temps inodores, mais non moins nuisibles. Faisons le tour des émanations dans votre maison et voyons comment s'en débarrasser.

      Ça y est ! Tout a été nettoyé de fond en comble, maintenant on pend la crémaillère.  

       

      Pour fêter ça, on invite des amis. Au menu, un plat simple et sain, poisson et légumes au barbecue d'intérieur, lumière tamisée et bougies parfumées. Même le chien et le poisson dans son bocal sont de la partie. Pas mal, ce joli 3 pièces au cœur de la ville. Cuisine ouverte, murs repeints, nouveaux meubles et moquette neuve dans la chambre de la petite. Ouf ! on est bien.

       

      Pas tant que cela, hélas.

      Lentement, mais sûrement, le formaldéhyde du mobilier et des tapis va se répandre dans l'atmosphère, se mêler aux émanations des produits ménagers utilisés pour nettoyer, aux hydrocarbures aromatiques polycycliques dégagés par les bougies,aux particules de carbones brûlées par les appareils de cuisson et de chauffage, au monoxyde de carbone… sans parler de l'amiante éventuellement présent ci et là, des acariens incrustés dans les coussins, des bestioles microscopiques ramenées par le chien, des moisissures qui ne vont pas tarder à s'installer derrière l'aquarium… Triste tableau, n'est-ce pas?

       

       

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      Aussi propre soit-on, ces substances —et bien d'autres— sont en effet présentes dans l'atmosphère de nos habitations. Une pollution spécifique, différente de la pollution extérieure, et invisible, que l'on respire inévitablement puisque l'on passe une bonne partie de son temps à l'intérieur.

      Quelles sont les principales sources de pollution ?    

      Nous ingérons 7X plus d'air que d'aliments  

      Consommation de 7x plus d'air que la nourriture

         

      On fait attention à ce que l'on mange, à ce que l'on boit… Prête-t-on autant d'attention à l'air que l'on respire ?

      Et si l'on peut éviter de manger trop gras, trop salé, trop sucré, et limiter sa consommation de viande et d'alcool, on ne peut pas cesser de respirer. 24h/24, on inhale ainsi une quantité d'air 7 fois supérieure au poids d'aliments et de boissons que l'on ingère. La pollution dans l’air ne se voit pas et pourtant elle est bien présente. Heureusement, on peut la minimiser en prenant quelques précautions.

      Les plus petits polluants sont les plus nocifs  

      Les polluants

      Des virus aux cendres de cigarettes, en passant par le dioxyde de souffre et les acariens, les substances potentiellement nocives présentes dans l'air ont des compositions chimiques et des tailles très variées. Leur dimension est un facteur clé : une particule très petite reste en suspension dans l'air. Plus elle est fine, plus elle pénètre loin dans les voies respiratoires, dans la circulation sanguine, voire à travers la peau, entraînant avec elle d'autres polluants adsorbés à sa surface. Elle sera aussi beaucoup plus difficile à filtrer

      par un purificateur d'air, s'il n'a pas un système de filtration à la… hauteur.

       

      La taille des particules, exprimée en PM (= particulate matter) est également un critère de réglementation sanitaire. Par exemple, l'Etat français, l'Union Européenne et l'OMS (organisation mondiale de la santé) ont fixé des valeurs limites de concentration en "PM10" dans l'air extérieur et des objectifs de qualité à atteindre.2

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      Les PM1

      Particules inférieur à 1 µm, dites particules ultrafines ou nanoparticules

      (car 1 nanomètre = 10-9 mètre) elles peuvent franchir la barrière cellulaire, c'est-à-dire pénétrer à l'intérieur des cellules. Exemples : les virus, les molécules organiques (= molécules à base de carbone et d'hydrogène).

       

       

       

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      Les PM2.5

      Particules de diamètre inférieur à 2,5 micromètres (=0,0025 millimètre)

      elles restent en suspension sans retomber et pénètrent profondément dans l’appareil respiratoire jusqu’aux alvéoles pulmonaires. Exemples : les fumées de cigarette ou de diverses combustions, les bactéries de type bacilles.

       

       

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      Les PM10

      Particules de diamètre inférieur à 10 micromètres (=0,01 millimètre)

      elles restent en suspension et retombent lentement (à une vitesse de 3 mm par seconde en air calme) ; elles sont retenues au niveau du nez et des voies aériennes supérieures. Exemples : les pollens, les moisissures, les grosses bactéries de type coques…

       

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      Contrôle de la qualité de l'air intérieur

      A savoir : en 2001, les pouvoirs publics ont mis en place l'observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI, www.oqai.fr)1, chargé d'étudier l'évolution des pratiques et d'édicter des recommandations, en collaboration avec l'ANSES (agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, www.anses.fr).

      A titre de comparaison, le diamètre d'un cheveu se situe entre 50 et 70 µm ; celui d'un grain de sable fin est en moyenne de 90 µm ; celui d'un globule rouge fait 7 µm ; les virus mesurent entre 0,02 µm pour le virus de la fièvre jaune par exemple et 0,3 µm pour celui de la variole ; le diamètre d'une molécule de toluène est de 0,568 nm.


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      Une mauvaise qualité de l’air intérieur a des impacts négatifs

      sur la santé à court et long terme

      Quel impact sur la santé ?  

       

      Simple fatigue, picotement des yeux, larmoiement, maux de tête, toux, allergies, asthme, irritations des yeux et des voies respiratoires, eczéma, intoxication, voire, à plus long terme, maladies cardiaques et cancers… la liste est longue des effets directs ou indirects d'un air pollué.

       

      Leur impact dépend de l'état de santé de la personne exposée, de son âge, de sa disposition… Les enfants en bas âge, les personnes âgées, les malades mais aussi les femmes enceintes sont plus vulnérables (certains polluants peuvent passer la barrière placentaire).

       

      Si l'asthme et les allergies respiratoires sont de plus en plus répandus parmi la population, ces affections peuvent être déclenchées ou aggravées par la pollution de l'air. Le lien de cause à effet est direct.

       

      D'autres effets sont moins directs. Dans les cas des particules ultrafines, la toxicité peut être à la fois liée à la nature chimique ou radiologique de la substance en cause et à la petite taille des particules qui atteignent les alvéoles pulmonaires, peuvent pénétrer dans la circulation sanguine et provoquer aussi des troubles cardiovasculaires.

       

      Au-delà des problèmes respiratoires, plusieurs études ont établi des liens entre l'exposition durable aux COV et le développement de maladies chroniques. Emis par diverses sources (peintures, produits nettoyants, désodorisants, colles, pesticides…), les COV pourraient agir à long terme et à forte exposition sur les systèmes nerveux, immunitaire et reproductif. En tant que perturbateurs endocriniens, ils pourraient également provoquer des troubles hormonaux entraînant baisse de la fertilité, malformations, cancers, obésité….

      Autre polluant en cause, le formaldéhyde, présent sous des formes diverses dans les matériaux de décoration, les meubles, les tapis, le papier… Très soluble dans l'eau, il pénètre facilement dans l'organisme. En exposition chronique, le formaldéhyde a d'abord des effets immédiats : irritation des yeux, du nez et de la bouche, maux de tête, troubles du sommeil, asthénie. A plus long terme et à forte exposition (il est question ici d’exposition dans un environnement professionnel), il est  incriminé dans la survenue des cancers du naso-pharynx et la leucémie myéloïde. Le formaldéhyde est classé par le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) comme cancérogène certain, tout comme le benzène, associé à des cas de leucémie.

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      Comment lutter contre cette pollution ?    

      Suivez notre échelle du top 14 des actions pour un air plus sain.

       

      Pas de panique, un peu de bon sens et quelques mesures simples, mais rigoureuses, suffisent déjà à éliminer le plus gros de cette pollution courante.

      1

      Ouvrir les fenêtres

      Aérer fréquemment les pièces,

      hiver comme été. L'air extérieur est aussi pollué, c'est vrai, surtout dans les villes, mais pas avec les mêmes substances et pas de façon aussi concentrée qu'à l'intérieur. Ouvrir les fenêtres permet de diluer les polluants et d'apporter de l'oxygène.

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      2

      Ne pas obstruer les bouches de VMC

      Pensez à les dépoussiérer régulièrement.


      3

      Eviter de générer des fumées toxiques

      (tabac, grillades, bougies, encens…)

      qui se déposent sur les murs, les meubles, sont absorbées par les tapis et les tissus d'intérieur, puis se rediffusent petit à petit dans l'air.

       

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      4

      Dépoussiérer plusieurs fois par semaine  

      et passer l'aspirateur avec un appareil équipé d'un filtre HEPA, laver régulièrement les rideaux, housses de coussins, etc. Envelopper les matelas dans une housse anti-acariens, la laver régulièrement et renouveler les matelas tous les 10 ans maximum.
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      5

      Se moucher matin et soir

      après s'être nettoyé et rincé le visage

      et les yeux, sans forcer.

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      6

      Aérer les vêtements

      de retour du nettoyage à sec

      (ils contiennent les fameux perchloroéthylène et tétrachloroéthylène).

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      7

      Brosser les animaux

      à l'extérieur et les laver régulièrement.

      8

      Ventiler copieusement

      pendant une ou deux semaines

      une pièce où l'on vient de placer un meuble ou une moquette neufs.

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      9

      Porter un masque lorsque vous faites du bricolage

      Lors des travaux de ménage ou de bricolage qui créent beaucoup de poussière ou qui font appel à des produits chimiques volatils, porter un masque, voire des lunettes de protection.
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      10

      Faire attention aux produits chimiques

      Eviter de conserver chez soi des bouteilles et des pots entamés de produits chimiques polluants (bricolage et ménage). Les ranger dans un endroit aéré, une cave, une remise, à l'abri du soleil.
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      11

      Contrôler les appareils de cuisson

      et de chauffage utilisant des combustibles.

      12

      Préférer les produits ménagers biologiques  

      ou contenant un minimum de composés volatils (lisez si les étiquettes mentionnent du benzène, du tétrachloroéthylène, du chloroforme, du toluène, des terpènes, etc.). Si vous utilisez un produit volatil, portez un masque et rincez bien ensuite les surfaces traitées à l'eau claire.
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      13

      Contrôler l'humidité.

      L'air trop sec dessèche les voies respiratoires,

      l'air trop humide favorise le développement des moisissures. Utiliser un déshumidificateur si nécessaire.

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      14

      Utiliser un purificateur d'air.

      Choisissez un appareil de qualité équipé d'un filtre au charbon actif

      et d'un système de filtration capable d'éliminer aussi bien les gaz nocifs et les bactéries que les PM2.5 et les allergènes. Sans oublier de remplacer le filtre au moins une fois par an.

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      Ils ont adopté les purificateurs d'air Philips  

      Plus qu'un plaisir, une nécessité !

      "Une bouffée d'air ! De par ma santé fragile et celle de mon fils de 4 ans, couplés aux allergies, pollution et chats, nous passons d'infections en infections. Je me suis donc jetée sur l'occasion de changer de vie et tenter ce purificateur. Dès la première semaine nous avons ressenti des changements, une meilleure respiration, de moins

      en moins de crises d'asthme, nous revivons ! Cela fait maintenant plus d'un mois que nous l'utilisons et pas de grosse rechute pour le moment, un meilleur sommeil, j'ai hâte de voir sur le long terme :)

      En voyant le carton je m'attendais à quelque chose de trop imposant, mais une fois déballé et posé, il sait se faire discret.

      Mon fils l'appelle même comme le robot des Nouveaux Héros, il a su se faire adopter !

      Je recommande vivement.

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      @Beffroi, note : 5/5

      Produit parfait pour les allergiques ou les asthmatiques.

      "Etant allergique aux acariens et fortement asthmatique, le fait de vivre au rez-de-chaussée ne me permet malheureusement pas d'aérer comme je le voudrais. Avec le purificateur d'air en route, ma famille et moi avons vraiment eu l'impression que la pièce avait été aérée pendant au moins une heure.

      Sa simplicité rend également son utilisation très agréable. Son design se fond parfaitement dans toute la maison et il ne prend pas beaucoup de place.
      Egalement très silencieux, cela permet de le laisser allumer toute la nuit. Les nuits sont également plus agréables avec le purificateur. Ma gorge ne me gratte plus au réveil, mes yeux ne me piquent plus

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      @Belissa, note : 5/5

      Purificateur d'air Philips

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      Acheter à votre distributeur préféré:

      Respirez la différence

      >

      Filtre les particules jusqu'à 0,02 um

      >

      Mode spécial allergènes

      >

      Débarrasse l'air des substances polluantes (poussière fine, pollen, allergènes) et des gaz nocifs (formaldéhyde, toluène, COV, etc.)

      Article par Laurence Zombek pour Philips.

       

      1. Plusieurs études de l'observatoire de la qualité de l'air intérieur l'ont mesuré (voir www.oquai.fr)

      2. http://www.respire-asso.org/particules-en-suspension-pm10-pm-25/

       

      Autres sources :

      http://www.oqai.fr/userdata/documents/286_Guide_ADEME_qualite_air.pdf

      http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/DGALN_Guide_Pollution_Air_interieur_0409.pdf

      https://www.anses.fr/fr/content/qualit%C3%A9-de-l%E2%80%99air-int%C3%A9rieur

       

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